Chère maman,

A mon retour à Oasis Springs, j'ai décidé de profiter pleinement de la ville. Je me suis rendue au (très) rares lieu publics. 

Je suis d'abord allée à la salle de sport, en plus j'ai quelques kilos à perdre. J'y ai fait la rencontre du charmant Don Lothario. Il m'a encouragée pour courir.

J'ai aussi essayé le punching-ball-, mais il est plus fort que moi...

Le soir, je suis allée au bar. Il, était plus plein que ce à quoi je m’attendais par rapport à la taille de la ville. En fait, je suis même pas sûre qu'on puisse appeler Oasis Springs une ville. 

J'ai un peu dansé, puis comme la barman s'est cassé la doigt, elle m'a demandé de tenir le bar pour le reste de la soirée.

C'était une grosse journée, mais comme j'avais plus mon travail (je l'ai quitté qund je suis partie à Willow Creek), j'ai pu faire une vrais grasse mat'.

Mél m'a trahie, elle à parlé de ma situation à papa, bien que je lui ai interdit. Du coup, il m'a fait un petit versement. Et j'ai pu mettre des murs à ma maison. En fait, Mélanie, je te pardonne. J'aurai aimé me débrouiller toute seule, mais j'ai pas à me plaindre.

Comme les livres me manquaient, je suis allée à la bibliothèque. Il n'y en a pas à Oasis Springs, j'ai du me rendre à la ville la plus "proche" (à peu près 40 minutes de route).

Là-bas, un homme prénommé Eric est venu me faire la discussion. C'est un fan de livres comme moi, il travail à la bibliothèque, il est drôle et gentil.

On a parlé un bon moment, puis il m'a proposé de le revoir, dans deux jours, au musée que sa ville venait d'inaugurer. J'ai accepté, évidemment. Puis il est parti, et moi je suis restée là, comme une idiote pendant dix minutes.

Pendant ces deux jours, je brûlai d'impatience, je tentai vainement de passer le temps en m'occupant de mes plantes, ou en peignant des toiles. Ce qui m'a fais récupérer cette passion perdue, ça faisait des mois que je n'avais plus dessiné.

Vint enfin le jour J. On s'est retrouvés, il m'a acheté un verre et on à admiré les œuvres en discutant de tout et de rien.

A un moment je me suis vantée, pour rire, en disant: Pff! De toute façon, je peux faire mieux!   Il m'a demandé si j'étais cap' de lui montrer sur le chevalet du musée.  Tu me connais, j'ai pas pu résister, j'ai relevé le défi.

J'étais en train, quand, un homme est venu regarder. C'était le responsable d'une galerie voisine. Il aimait mon originalité, et m'a proposé un job.

Il m'a vite fait décris les horaires, ce que j'aurais à faire et mon salaire. J'ai accepté. Il avait l'air fou de joie, Eric m'z félicitée, pendant que moi je me demandé pourquoi les gens en faisaient tant pour un simple boulot.

Tout s'est passé super bien. Malgré le fait que j'aurais aimé adore, qu'il se passe "quelque chose" de plus.

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