• Amanda Summers 2.14 Monstre

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                                                 Précédemment chez les Summers,                                                Alors que Alan vit un amour idyllique avec Olivia et a un merveilleux garçon, Amanda se met à se demander si elle ne commencerai pas à ressentir quelque chose pour Alexandre, son ami d'enfance qui a déjà une petite amie.

    Bonne lecture!

     

    Oh mon dieu, je suis un monstre! Tout allait si bien entre eux.... Alexandre semblait combler Laura de bonheur.

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    Et entre nous tout allait si bien aussi. Mais a un moment, quelques part entre deux concerts en pyjamas improvisés, mon soupçon s'est confirmé.

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    Je tombais amoureuse de lui. C'est peut-être juste le syndrome de "Jepeuxpasl'avoirdoncjeleveux". Mais j'ose espérer que c'est la belle déclaration d'amour qu'il m'a faite, les chansons qu'il écrit pour Laura dont je rêvais être la destinataire,

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    la passion avec laquelle il la prenait dans ses bras comme je rêverais qu'on me prenne.

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    Mais quand bien même ce serait pour les meilleures raisons du monde... En plus, dévorée par le doute, j'ai demandé conseil à Alan. "Tu as droit au bonheur, a t'il commencé, Mais cette Laura aussi tu sais? Pense à Alexandre, pourrais tu promettre de toujours l'aimer comme il le mérite? Tu sais qu'ils se sont fiancés n'est-ce pas". 

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    Oui je le savait, ils l'avaient fait devant moi.

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    Pendant que je discutais avec Alan, Florent (qui a grandi) dessinait à côté et nous a entendu.

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    Son avis différait de celui de son père, car il dit "C'est toi qu'il aime, en plus t'es plus jolie". Mais que valait l'avis d'un enfant dans une histoire qui blesserait forcément quelqu'un?

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    Pourtant, c'es le sien que j'ai suivi. Parce que je suis égoïste, je suis humaine, non, je suis un monstre.

    Je lui ai chanté mon amour, ma raison me disant d'arrêter sur le champs, mon cœur battant à toute allure.

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    Et pour mon plus grand bonheur et ma plus poignante culpabilité, Alexandre me prit dans ses bras.

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    J'ai résisté quelques jours à l'envie de lui reparler. Mais pas longtemps. Je lui ai prit la main, l'ai emmené dans le jardin, et on a commencé à regarder les nuages, puis a discuter de tout et de rien.

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    Et quand on s'est levés, avec un mal de dos à force d'être restés allongés sur le sol, Alexandre m'a offert une merveilleuse rose rouge.

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    Il me prit la main et me dit "Quand je t'ai t'ai dit que je t'aimerai toujours, je rigolais pas, tu sais? Et je me sens mal pour Laura, pour qui j'ai des sentiments aussi. Mais je t'aime. Et si tu m'aimes aussi alors la vie sera belle quoi qu'il arrive.".

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    Et là, j'ai arrêté de penser à tout le mal que je faisais à cette pauvre femme rien qu'en posant les yeux sur lui. Là je n'ai pensé qu'à moi. J'ai embrassé Alexandre.

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    Et d'un baiser doux comme la soie et... RAAAaah! Comment ai-je pu faire ça? Oh làlà làlà... Je suis un monstre. Et le pire dans tout ça, c'est que là maintenant tout de suite, je suis heureuse...

     

     

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  • Commentaires

    1
    Dimanche 29 Mars 2015 à 12:36

    Elle la suivis son cœur. Et le cœur a c'est raison que la raison ignore.

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